Thomas VALERO au prochain café Jaurès : trois variations des mémoires jaurésiennes poésies, bande dessinée, street art.
Mardi 26 octobre dès 18 heures.
Espace des Diversités et de la Laïcité – 38, rue d’Aubuisson – Toulouse
Quel est le point commun entre le chanteur Jacques Brel, le groupe Les Fatals Picards, la poétesse Anna de Noailles, le graffeur C215, le dessinateur Jean-David Mourvan ou le groupe de punk La Souris Déglinguée ? Jaurès.

Depuis plus d’un siècle, on observe les multiples interpénétrations des mémoires jaurésiennes comme l’odonymie, la statuophilie, les mémoires littéraires de la figure de Jean Jaurès chez Proust, Aragon ou Nizan et d’autres…
Loin du prestige des statues, des noms de rue et des bâtiments publics — en somme, loin de la monumentalité de ces mémoires — une étude, poétique et artistique de la mémoire jaurésienne permet de signaler les grandes évolutions de celle-ci.
Sans viser à l’exhaustivité, ces trois évocations — poésies et chansons, street art et bande dessinée — viendront mettre en relief les continuités, les ruptures et les recompositions d’une mémoire, bien vivante, depuis le 1er août 1914.
Thomas VALERO.
Thomas est militant associatif et politique. Ancien collaborateur parlementaire et directeur de cabinet d’un maire de la métropole de Montpellier (Clapiers), il est actuellement collaborateur du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain (groupe majoritaire dans la majorité) à la mairie de Montpellier.
En décembre 2019, il a soutenu, sous la direction de Christian Amalvi, une thèse en histoire contemporaine intitulée Les Cendres et la Flamme, les mémoires de Jean Jaurès de 1914 à nos jours.